Mais c’est surtout une autre id;e qui
m’est venue, ; cause des « neurones miroirs ». Une id;e troublante,
d’ailleurs, et sans doute vaguement proustienne (ce qui m’;nerve). Et si la
litt;rature, c’;tait une t;l;vision dans laquelle on regarde pour activer ses
neurones miroirs et se donner ; peu de frais les frissons de l’action ? Et si,
pire encore, la litt;rature, c’;tait une t;l;vision qui nous montre tout ce
qu’on rate ?