Partage amoureux

   Toi qui jamais ne pleure sur le quai d’une gare.
   Toi qui jamais n’effleure ma main quand je m’egare.
   Mais parfois me souris. D’un regard me desarme.
   Parfois m’attriste dans le gout de tes larmes
   Versees a l’incompr;hension de maux steriles
   Quand des mots insens;s se font indelebiles !

   Et combien de "je t’aime" encore a declamer
   Sur la scene enjouee de nos vies alarmees
   Par le tumulte interne de ces espaces sauvages
   Ou nos etres se perdent faute de passions sages.
   De jardins a fleurir avec des soins constants
   Ou la patience est d’or et l’Amour son present...

                CdM


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