chute de feuilles
Efface les ranc;urs, la poussiere des vies niches.
Mon the refroidit, l'ame est sur des recifs lents.
Et dans la p;nombre de cet appartement
Refleurissent les visages chers, doux et troublants,
L'echo des mots qui blessaient, froids comme des lames.
Ah, le destin virevolte en chute de feuilles,
Nous eleve au zenith, puis en bas nous recueille.
Et r;sonne dans le silence, prenant les c;urs,
La triste m;lodie d'un violon en pleurs.
Et ces arp;ges sont la voix de l'amour mort,
Reste dans le passe, un cahier de remords.
Sur ces boulevards ou les reverberes flambent,
J'allais, sans peur, sans savoir vers quelles gambades.
Puis je t'ai rencontree – le monde s'est renverse.
Tes yeux, deux feux d'adieu qui m'avaient traverse,
Ton sourire, ma blessure, un echo glace.
On aima si fort que c'est douleur de respirer.
Ah, le destin virevolte en chute de feuilles,
Nous eleve au zenith, puis en bas nous recueille.
Et r;sonne dans le silence, prenant les c;urs,
La triste melodie d'un violon en pleurs.
Et ces arpeges sont la voix de l'amour mort,
Reste dans le pass;, un cahier de remords.
Et le temps, il guerit ? Non, jamais, il ne guerit.
Il emousse la peine, eteint les couleurs vies.
Mais qu'un violon pleure au c;ur de la nuit,
Redeviens le gar;on qui attend aujourd'hui.
Ah, le destin virevolte en chute de feuilles !
Nous eleve au zenith, puis en bas nous recueille !
Et resonne dans le silence, prenant les c;urs,
La triste melodie d'un violon en pleurs...
Ces arpeges... la voix de notre amour fini...
Rest; dans le passe... Pardon... Sois benie...
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