La mer se tait, douce comme un r;ve,
Lisse et profonde, bleue sous le ciel.
Les vaguelettes, d';cume l;g;re,
Berce mon c;ur d'un chant ;ternel.
Je marche au bord de l'eau qui murmure,
O; le temps s'endort dans l'or du soir.
Je ramasse des coquilles pures,
Chacune est un myst;re ; revoir.
L'une est torsade, fragile et fine,
Souvenir lointain d'un oc;an.
L'autre, nacr;e, semble divine,
Tr;sor ;chou; par un titan.
Et si ces coques, pleines de magie,
Gardent l';cho des sir;nes d'azur ?
Si leur silence cache une vie,
Un monde perdu, pur et obscur ?
La mer soupire, lente et lasse,
D;posant son ;me sur le sable.
Je garde ces r;ves qui passent,
Fragments d'un conte inoubliable.
Dans mes mains, reste l';tincelle,
Le sel, le vent, l'appel des flots.
C'est un peu d';ternit; en elle,
Un reflet d'infini, rien de plus haut.
Le Chuchotement des Vagues
© Copyright: Диана Дроздова, 2025
Свидетельство о публикации №125053105844
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