32. Ton pull me sauve toujours de l hiver

Ton pull me sauve toujours de l’hiver,
Mais il oublie helas ton corps.
La derniere porte entrouverte
Se ferme, et quoi en faire encore?

A quoi passer les nuits tout seul
Perdu dans la memoire criblee,
Se souvenir de tes paroles?
Ca sert a rien de bon, t’aimer.

Ces souvenirs, le dernier lien,
Ils sonnent une tristesse immense,
M’emmenent dans un coin parisien
D’ou origine toute ma souffrance.

Ce lien, le temps va leffacer.
Faire ca, je navais jamais ose.


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