Derriere la dune
Je pris mon baton de pelerin
Quand arrive au bout de la ronde
M accabla encore le destin
Je regardai derriere moi
Meme mes pas avaient disparu
Que faisais-je donc la?
Moi, le sinistre inconnu
Soudain, a cote de l enclume
Je vis se poser une colombe
Qui me montra tant de dunes
Ou tant de sable abonde
Et de depit, je me dis:
Moi aussi, je ne suis
Qu un grain de sable dans le monde...
Le vent se mit a souffler
Et je ne voyais plus rien
Regrettant meme le passe
Maudissant mon chemin
Quand la tempete prit fin
Je n en cru pas mes yeux
A la place du desert au loin...
Devant moi - une oasis merveilleuse!
Une vie simple, paisible, fertile
Je remerciai Dieu d etre enfin utile
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