Au bout de l absurde

Dans le monde infini qui s’evade en myriades de galaxies

Ou la pensee s epuise, se perd a couvrir l’etendue de son ignorance
Ou l’homme conquerant galere plutot, dans ses flots d’incoherences

Pour voyager, changer d’air, se donner des frissons
Dans le plaisir merveilleux, tourner a rebonds
Et finalement, le visage bleme, faire du sur-place
Sur la planete bleue, ou la meme vanite passe

Y rester, puis mourir.


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