Toi qui a la sante...

Tu la trouves acquise, et il ne te vient pas a l esprit d y penser.
Moi non-plus, je n y pensais pas, car on me disait qu elle etait a moi.
Illusion, le germe de la corruption etait en moi.
Des ma conception, le mal me rongeait jusqu a faillir d en mourir.
Le temps a coule, ma force aussi, et je me trouve maintenant - demuni.
A devoir prouver a des savants, cependant sourds et myopes a mes tourments, le bien-fonde de ma realite.

Je ne veux pourtant pas leur nuire, mais juste vivre.

D hiver en automne, tonne ma langueur. Je ne puis plus l entendre, j ai perdu la ferveur.

Que la glace me prenne, me gele
M ote de l  esprit - ces ritournelles
Qui me criblent et me peinent
Cible, d une haine eternelle

Puissances, vertus, e-vertuees
Qui rongez en choeur - mon existence
Je remets a Dieu - mes peches
En Lui est ma seule - delivrance

Господи, помилуй


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