La vraie liberte..

C'est vivre sans passions en gardant l'equilibre et une mesure certaine.   

La liberte comme le monde l'entend est une utopie, une chimere, un piege.
On a toujours des obligations, des envies, des besoins ... Un est satisfait, un autre apparait.

Sur terre, nous ne sommes pas libres. Preuves? Nous sommes esclaves des maladies, du climat, de la lutte pour la survie, de la mort, etc...

La liberte du monde est comme une drogue, le veritable opium du peuple.
Une telle liberte devore la planete de desirs nuisibles et inutiles.
1 loisir, 2 loisir, 3, 4, 5 ...
1 partenaire, 2 partenaires, ...
1 divorce, 2 divorces, 3 ...
Combien de depenses repetees, de frais d'avocat, de carburant, de medecin, de sorties, de malbouffe, ... 
Et c'est le modele dont beaucoup de dirigents gavent le monde ...

Ils disent qu'ils sont libres car ils crient ce qu'ils veulent? Absurdite.
L'homme subit des codes qui le forment, et pour liberer son analyse, il faut les comprendre et pouvoir discerner. Tiens discernement? Encore la sagesse qu'a cherie le roi Salomon.
De plus, quand on crie, il arrive toujours un moment, ou l'on devient oblige de se taire, soit car on fatigue, soit qu'on nous empeche de parler.

Quand on n'accorde plus aucune importance au regard des autres, il faut vraiment commencer a s'inquieter ...  Nous avons des pieds, pas des ailes, et s'il est parfois bon de rever, nous vivons sur terre, pas dans les nuages.

Il faut se sauver de cette liberte pour sauver le monde terrestre et c'est pas demain la veille.

Sans Dieu, cette liberte mene a l'extinction pure et simple, a l'auto-destruction, car seul Dieu peut nettoyer ce bazar.

Un simple d'esprit le comprend, mais l'homme moderne a la grosse tete, est saoule et se saoule d'inepties, aveugle a l'evidence, alors il repete ses inepties, et le simple d'esprit, qui croit en Dieu, devient le seul homme sense. Tiens, encore les Evangiles ...

On en revient au Nouveau Testament et a l'Ancien Testament. La boucle est bouclee. CQFD.

Seigneur, je lutte, aies pitie de moi, j'esaie de me liberer de cette liberte et de son heritage.


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