Maladie, lutte, autrui, Dieu, merci

Comment mener cette guerre?
Sans air, sans sommeil, sans force?
Depourvu d'energie, volonte ephemere ...
Glisse dans la nuit, dans la fosse

Mais sans faire de mal a personne
Perdu dans ce "corps-jonque", gisant ...
Je derive, me reveille, et sonne
Au loin, un frele espoir bienveillant!

Qu'un beau jour le penible calvaire,
Finira dans la joie, loin des tourments,
Libre de respirer, me repaitre d'air
Pour etre plus pres de Lui - bien vivant! 

Merci a Toi de voir que j'essaie ...
D'a nouveau souffler dans mes narines
Car c'est bien Toi, ca je le sais,
Qui dans le silence de mort - leur ruine,

Ou grondent de rage leurs babines - leur jugement,
Tendre, me tend gracieusement ta main cherubine

Percee du Ciel dans ces nuages de sang ...


(Nouvelle d'une possible guerison. Cliche pris a la fin de la redaction du poeme. Derniere phrase ajoutee)


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