Abandonne la naivete et tu vivras...
Qui permet d’eviter le danger
Que nous tendent dans le noir
Les sombres forces des damnes
Le corps meurtri, la memoire usee
Je n’ai pas appris a me defendre
Des morsures, du venin enflamme
Je suis encore bien trop tendre …
Ainsi, parfois je subis, me laisse sacrifier
Ou grogne et gemis comme un chien blesse
Mais, grace a Dieu, quand le calme revient,
J’aime encore mon frere et je le plains ...
Car lui, comme moi, est aussi la victime,
Du mal qui ne dort pas tapis dans l’abime
Seigneur, pardonne ma naivete et mes exces,
J’essaierai encore de faire ce qu’il Te plait …
Sans Toi, je ne suis rien ...
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