Tu n es plus la, ma chere maman

         

Le moulin de vie nous jetait dans la meule de la pauvret;,
C’est ton aile de m;re qui me couvrait.
La forge du  destin me mettait sur l’enclume
Et me battait, br;lait, martelait,
C’est ton amour qui me sauvait.

La vie m’envoyait des ;preuves de fermet;,
J’ai su  les  traverser.
Les hypocrites, les menteurs, les flatteurs,
Me donnaient  leurs cruelles le;ons,
Ton bouclier d’amour me prot;geait des d;ceptions.
Tu m’encourageais, tu m’apprenais,
Qu’il y a l’amour  et l’amiti; d;vou;s.
;tant tout ; haut ou tout en-bas
Restant pr;s de toi ou ;tant tr;s loin,
Ton c;ur se  battait ; l’unisson du  mien.

La roue des jours tournait,
Comme les oiseaux volaient, les ann;es passaient,
Le temps est venu de s’arr;ter,
Au c;ur d;vou; qui savait aimer,
Savait pressentir et pardonner.
Prier le Dieu de m’assister,
Me soutenir dans les jours difficiles,
Se r;jouir dans les jours de succ;s,
Seulement pour toi j’;tais parfaite,
Ma ch;re maman…sur cette terre… tu m’as… abandonn; ?

Tu ne pourras plus ouvrir les yeux.
Tu ne pourras plus me dire un mot.
Mon ;me crie et sanglote,
Je ne te trouverai plus parmi les vivants ?



Etant noy;e dans l’adversit;,
Devenu vigoureuse et fortun;e,
Comme un enfant j’ai envie de pleurer
Devant ton cercueil, mais…
Je n’ai pas le droit d’oublier
Tout le monde me regarde et je dois r;sister.

Les gens cherchent les paroles pour me consoler
 Ont-elles jamais exist; ?
Y a-t-il la force pour ma douleur soulager ?
Peut-on, cette douleur, expliquer… la d;crire… la nommer ?

Le dernier baiser, le cercueil ferm;,
Un dur instant… tu es enterr;e.
Je me demande : « Est-ce que c’est vrai ?
Est-ce que nous sommes s;par;s ; jamais ? »

Je t’en prie, tu assistes ;  ma vie.
Viens dans mes r;ves la nuit,
S’il pleut, tu viens avec la pluie,
Viens ; l’aube avec le soleil,               
Tu m’offres cette merveille.
La brise de mer m’apportera ta tendresse,
Le souffle du vent  emportera mes souffrances, ma tristesse.
Ma ch;re maman, pour moi, tu n’es pas partie,
Tu vis dans mon c;ur et dans mon esprit.


 Le 4 octobre 2006


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