Sur la memoire

Je me souviens, maintenant, le moment des adieux,
Quand tu hate plus vite partir
Ou se cachait les yeux et etrangement silencieux
En ce moment, n'hesitant pas a me dire:
"Adieu et Pardonne-moi", en regardant dans les yeux.

Je me souviens j'ai agite a toi la main negligemment
Souriant a travers ses larmes, ne croyait pas que tout s'oublie
Je me souviens que j'ai realise que je perds toi maintenant
Je sais que tu es parti pour toujours, mais je n'ai pas pu t'oublier.

Je continue a croire que dans un court laps de temps comme avant
Je te verrai dans la realite, et pas seulement dans le reve de soir
Que tu me seras de nouveau sourire a l'aise et facilement...
Pardonne-toi de moi, mais je ne vais pas te demander de te venir me voir!

Je suis reste sur la memoire des mots, comme les lettres anciennes,
Qui le garde jusqu'a present, n'hesitant pas a se bruler.
Tu ne m'ecriras dans les classiques des lettres, que je suis a tienne
Je ne reve pas de tes lettres d'amour - tout a brule.

Je laisse sur la memoire des mots, comme les couplets de la chanson
Une chanson, que nous n'avons pas pu enregistrer
Nous avons son chante, n'est pas jusqu'a la fin. Quelle est la raison?
Mais maintenant, en vain, de penser et d'en pleurer.

Les mots sont restes, comme des photos, des donnees sur la memoire
Je suis dans son coeur pour toujours gardes,
Comme un lointain mirage. Je ne lui ai je pourrai dire: "au revoir!"
En effet, je ne vous ai pas pu aimer, c'est la triste verite.

Les mots sont restes, comme les photos sur la memoire
Ces mots, j'ai a coeur a jamais veux garder
Comme un lointain mirage. Je ne lui ai je pourrai dire: "au revoir!"
Je ne peux pas cesser de t'aimer toi, c'est la triste verite.

Les fleurs de notre jardin transforme dans brulee le feuillage.
Ils perissaient sous les rayons du soleil de printemps
Sont restes les mots, les virgules et les points. Dans les nuages
Sont restes sur la memoire incomprehensibles reves pour longtemps.

Le 19 novembre 2008