Si tu savais,...

Petite etoile, si tu savais …
Comme ces bracelets brulent sur mes chevilles,
Comme je suis lent des boulets que je traine, 
Combien me pese le fardeau de ma famille,
Qui va et vient sur mes epaules qui saignent,
Jamais tu ne m’aurais banni de ton coeur,
Et a la place d’user mes yeux dans le ciel,
A scruter la venue d’une hypothetique faveur,
Toi-meme, tu serais venue m’apporter l’etincelle,
Pour embraser en moi l’ocean qui sommeille
Rien, ni le mal, ni les sorts n’auraient pu detruire
Cette source infinie d’amour, de merveilles !
Mais depuis quand les princesses, avec leurs soupirs,
Ont-elles le courage de delivrer d'un simple baiser,
Le valeureux guerrier qui saura les combler ?
Le sauras-tu jamais ?

J'essaie, ...


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