Dasha - les crocs de la lionne

Le tonnerre gronde, les eclairs cisaillent la noirceur epaisse,
Le teint pale de ta peau legere comme une ecume de nuage,
Ta volonte de feu qui s’eleve et dissipe les pluies de tristesse,
Toujours plus haut, elle s’eleve et se joue des ombrages,
Et toi, tel un chat qui bondit et esquive les coups du destin,
Tu retombes sur tes pattes en un espiegle pied-de-nez,
Que les vautours aillent se repaitre ailleurs de ton festin,
Dressee sur tes griffes, les crocs affutes, tu defends ta fille aimee !
Cependant, puisse le ciel avoir pitie du fauve que tu es,
Car en voulant atteindre tes reves de jeune fille perdue,
C’est la vie d’innocents dont maintenant tu te repais,
Quand l’amour t’eprend, pense a ces ames dans le silence - tues.


Рецензии