J ai envie de toi!!!

Je p;n;tre d;nud; dans ce grand lit froid. je t'y attends, impatient, f;brile pour cajoler ton corps de fa;on subtile. Tu m'y rejoins et nous voici ; l';troit. Nos regards se croisent et s'accrochent,
l'on se dit de jolis mots ; l'oreille, j'admire ton corps qui m';merveille, je n'y tiens plus, il faut que je te touche.Mes mains caressent ton doux visage, sur ta bouche je pose mes l;vres,
et, sentant en moi monter la fi;vre, je sais ne plus pouvoir rester sage. Alors que tu m'embrasses de fa;on si tendre,
mes doigts effleurent ton cou, tes ;paules, les caressent, y dansent la farandole et d;couvrent aussi la peau de ton ventre,D;licatement, ils glissent vers les seins, dessinent leur galbe, fr;lent les doux t;tons, laissant monter en toi le d;sir, tel un d;mon, pour te voir enfin vibrer de soubresauts coquins. Ma bouche effleure alors le chemin entrouvert, go;tant ton corps, descendant encore plus loin.
Tandis qu'une main visite d'autres recoins, ma bouche se r;gale de ton corps d;couvert. Mes doigts coulent doucement sur ta peau,
fr;missante d'un inavouable d;sir. Je ne me h;te pas, faisant durer le plaisir, Avant de descendre au-del; du dos. D;j;, ma bouche atteint tes douces fesses, S'abreuve de leurs courbes, sans concession descend encore, intensifiant la pression,
laissant aux mains la joie des caresses. Ma langue tendue te semble soudain s'affoler sur ton sexe, sans parcours vraiment d;fini,
sauf celui d'un beau voyage pour l'infini, enivr; par ton corps, ma raison s'est envol;e. De ton jardin, je croque les fruits de tendresses, ton regard perdu croise le mien et s';claire Je voudrais bien que cela dure un mill;naire avant d'enfin, apais;, retrouver la sagesse Les yeux clos, tu pars vers la jouissance, mes mains fol;trent vers tes cuisses tendrement, afin que tu ne puisses
emp;cher le plaisir d'atteindre la d;livrance. Ma langue court sur cette terre promise se r;gale des parfums et des sucs puis, soudain, comme s'il y avait un truc Tu fr;mis, un long orgasme t'incise. Ton corps est pris de secousses violentes, je sens ton souffle court et t'entends g;mir le rose d;core tes joues, belles ; ch;rir, tu sembles heureuse, indolente. Encore tremblante, tu m'effleures entre tes mains, enfin je m'abandonne pour ressentir l'amour que tu me donnes tes c;lins me font fr;mir de bonheur.
De mon sexe ta bouche s’empare, le cajole, le l;che puis l’engloutit.
Tes doigts agiles s’agrippent ; lui alors que ta langue encore d’;gare Je perds pied, la chair de poule m'envahit, je me raidis, devient presque un pantin, sous tes doigt agiles, je perds mon latin.
Sous tes cajoleries je reste ;bahi. L'excitation d;j; au paroxysme
je viens en toi, nous ne faisons qu'un, soud;s on ressent l'autre et ces plaisirs oubli;s, en moi se d;clenche un furieux s;isme.
Nous restons l;, blottis l'un contre l'autre, heureux, apr;s nos ;bats enflamm;s dans ce lit d;fait o; les draps emm;l;s t;moignent de cet amour qui est le n;tre.


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