La paranoa

La parano;a du silence! Tout est extraordinaire dans des illusions
On attendait longtemps pour distinguer la voix venant de la gorge de l’homme mort,
Qui contemplait de ses yeux ;troits la vague de Tsunami.

Les visages qui demeureront toujours devant nos yeux
Comme des r;ves engloutis dans des bunkers de la ville
Sombr;e dans la brume.
La ville qui est b;tie sur des os
Sur chaque cr;nes –inscription
-Ils attendent leur temps.
Toujours le lieu de lev;e du soleil,
;les o; le vent ti;de, venu de sommet de Fuji-yama
Crie et emm;ne avec lui la l;gion
Des feuilles tomb;es
Comme des corps mutil;s des enfants
Emmen;s de la maternelle ; la guerre atroce
Le vent emporte l’histoire de la guerre gagn;e
D’o; les vieillards reviennent ensanglant;s
Et les jeunes soldats sont morts
Ils sont partout…
Le troupeau de moutons marchant sur deux pieds.
A la t;te- le berger aveugle.
Dans des forets de Fuji-yama
La femme dessine hara-kiri sur son ventre,
Pour indiquer la partie st;rile…