Le vent qui sent le souffre ou Grenoble 5

Arrache-moi des plombs des idйes achevйes.
Dorlotte-moi du souffle mou des pensйes.
Je te cherche il y a d’innombrables annйes,
Mon idole gйnante aux sourires amиres.
Je t’adore en dieu et m’attache en mиre.


Рецензии